Les Licences à Accès Santé (LAS)

L’Université offre la possibilité aux étudiants suivant une Licence dans un autre domaine de compléter leur cursus avec une option Accès Santé qui leur permet de présenter leur candidature en 2^ème année MMOPK. Ces nouvelles voies sont des Licences à Accès Santé (LAS).

Ces LAS permettent à l’ensemble des étudiants de 1^ère, 2^ème ou 3^ème année de candidater aux places restantes en 2^ème année MMOPK par ces voies.

Tout comme en PluriPASS, le nombre de candidats est largement supérieur au nombre de places ouvertes. L’Université a donc mis en place un mode de sélection basé sur des épreuves classantes afin de sélectionner les meilleurs de la promotion. La majorité des reçus passe des épreuves complémentaires, à l’oral, pour évaluer leurs compétences transverses.

Les enseignements en LAS sont regroupés en deux blocs : une Majeure dans le domaine de la Licence et une Mineure Santé qui reprend, en partie, les enseignements scientifiques et médicaux du PluriPASS.

Ce bloc correspond aux enseignements spécifiques de la discipline suivie en Licence. Ces enseignements sont organisés et dispensés par les Facultés en partenariat avec la Faculté de Médecine.

Les enseignements correspondant à la Mineure Santé sont composés de 10 modules organisés par la faculté de Médecine. Pour accéder en 2^ème année MMOPK à l’issue d’une 1^ère année de Licence, l’étudiant doit suivre et valider 5 des 10 modules au choix. A l’issue d’une 2^ème année de Licence, l’étudiant doit valider 7 des 10 modules d’enseignement de la Mineure Santé.

Au moins 50% des étudiants admis en 2^ème année des études de Santé passent par des épreuves orales.

Ces épreuves, évaluées par un jury composé de professionnels de santé et de professeurs universitaires, ont pour objectif d’apprécier les compétences transverses des candidats au travers de mini entretiens multiples (MEM). Ces oraux seront déterminants, ils peuvent amener un étudiant bien classé aux écrits se voir refuser l’accès en 2^ème année si sa prestation aux épreuves orales n’était pas au niveau de celle de ses écrits.