Le Parcours Angevin des Sciences de la Santé (PluriPASS)

Le PluriPASS (Parcours Angevin des Sciences de la Santé) est la voie principale pour accéder en 2^ème année des études médicales. En effet, la majorité des places de 2^ème année MMOPK (Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie et Kinésithérapie) est accessible par cette voie en fin de 1^ère année.

Mais le nombre de candidats inscrits en PluriPASS reste largement supérieur au nombre de places en 2^ème année MMOPK. L’Université a donc mis en place un mode de sélection basé sur des épreuves classantes pour pouvoir sélectionner les meilleurs de la promotion. Cette sélection passe en premier lieu par des épreuves écrites au 1^er et 2^nd semestre. À l’issue de ces épreuves, une partie des candidats est admissible à des épreuves orales qui déterminent s’ils sont admis ou non en 2^ème année. La majorité des reçus devra passer ces nouvelles épreuves. Ces nouvelles modalités ne prévoient plus qu’une unique chance par cette voie, le redoublement du PluriPASS étant interdit.

Afin de permettre aux candidats non reçus d’avancer dans leurs études supérieures, les enseignements du PluriPASS reposent sur trois blocs d’enseignement : les sciences de la vie, les sciences de l’ingénieur et les sciences humaines et sociales. Ce programme leur ouvre les portes de la 2^ème année de la plupart des Licences proposées à l’Université d’Angers.

Les enseignements du PluriPASS sont organisés autour de trois grands champs disciplinaires : les sciences de la vie, les sciences de l’ingénieur et les sciences humaines et sociales.

Au moins 50% des étudiants admis en 2^ème année des études de Santé passent par des épreuves orales.

Ces épreuves, évaluées par un jury composé de professionnels de santé et de professeurs universitaires, ont pour objectif d’apprécier les compétences transverses des candidats au travers de mini-entretiens multiples (MEM). Ces oraux sont déterminants, ils peuvent amener un étudiant bien classé aux écrits se voir refuser l’accès en 2^ème année si sa prestation aux épreuves orales n’est pas au niveau de celle de ses écrits.